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3-2-2014 à 21:16:26 |
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C’est le jeu eSport qui monte. La dernière version de Counter Strike : Global Offensive, a fait parler d’elle ce week-end en France avec une annonce qui bouleverse toute la scène tricolore. La structure multi-gaming Team-LDLC a annoncé son retour sur le jeu en recrutant des joueurs issus de deux équipes tricolores au sommet : Clan-MystiK et Nameless. Les conséquences sont lourdes. Sur l’immortel Counter Strike, les équipes françaises brillent. En fin d’année 2013, le Clan-MystiK a gagné l’ESWC, s’adjugeant le titre de championne du monde. Quelques semaines plus tard, lors du plus gros tournoi de l’année, à la DreamHack, les Français de Nameless (envoyés en Suède par Recurcive) ont atteint les quarts de finale, s’inclinant contre les terribles Fnatic.
CS:GO : De gros changements en FranceLes choses semblaient solides sur notre Hexagone, mais l’annonce de Team-LDLC est venue tout exploser. Solide en 2013 avant de disparaître, Team-LDLC a voulu signer un retour très remarqué sur le jeu et s’offrir une très grosse formation. En proposant un salaire élevé, elle signe trois joueurs de Nameless, Maniac et Happy, deux des meilleurs joueurs d’Europe, ainsi que Uzzziii, plus discret et inexpérimenté. Elle attrape également dans ses filets deux joueurs du Clan-MystiK, le grand espoir KQLY ainsi que le redoutable apEX. Pour le Clan-Mystik et Nameless, c’est un énorme coup dur.
Les joueurs abandonnés n’ont pas caché leur colère sur les réseaux sociaux. Leur avenir s’annonce très sombre dans les semaines à venir. Pour la nouvelle formation Team-LDLC, c’est la Pologne qui l’attend avec le tournoi des EMS de Katowice. Dire qu’ils sont attendus au tournant est un euphémisme.
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Par lpd11, Rédacteur en chef de lpd11.free.fr |
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